Surtout est-ce pour vous ? Envie de beau et de bon, d’un accessoire utile et durable qui certes protège et célèbre l’élégance française mais surtout réhabilite une histoire et un patrimoine français, et permet de sauvegarder toute une filière de fabricants du manche à la toile. 

C’est l’aventure d’une femme, Anne Donnay :

" Après 20 ans à travailler au développement de marques fortes, j’ai tout lâché pour me lancer dans ce qui est ma vraie passion depuis que je suis toute petite, le parapluie.

J’ai créé Le Parapluitier pour sauvegarder un savoir-faire français historique menacé de disparition et favoriser une économie circulaire responsable afin de lutter contre les parapluies de mauvaise qualité, fragiles et non recyclés, jetés chaque année.  L’objet, son histoire millénaire, son évolution sociétale, ses multiples déclinaisons et inventions, son artisanat familial : tout ceci me passionne ! Le beau, le vrai, l’utile et le sens m’animent. Je veux faire revivre,  raconter et changer le regard sur cet accessoire de mode que l’on pense à tort désuet, utilitaire, devenu à usage unique. Magnifier ses formes, mettre en avant son mécanisme, raconter un savoir-faire bien vivace mais méconnu et favoriser l’emploi français sur toute la chaîne de valeur jusqu’à l’étiquette et au carton d’envoi me motivent. 

Le Parapluitier, folle ambition en période COVID ? L’élan écologique, la piétonisation des centres-villes, la protection contre la pluie mais aussi contre le soleil… Je crois en l’avenir du parapluie et de l’ombrelle durables français. Ma mission sera réalisée quand les Français arrêteront de jeter leur parapluie à chaque averse et (re)découvriront un attachement personnel à cet objet de notre quotidien. "